La Knitterie Parisienne en images...
Ca y est, sous la pression, mon homme a cédé.
Petit compte rendu de mon excursion dans ce qu'il a surnommé "l'Enfer du tricot".
Première angoisse à 11h20, après avoir traversé la vallée sous un soleil de plomb, nous trouvons porte close, la boutique ouvre à midi le mercredi.
J'en profite pour reluquer la vitrine avant d'aller faire quelques courses pour patienter.
30 minutes plus tard, nous pénétrons enfin dans la Caverne d'Alibaba. Si la surface de la boutique est loin d'être impressionnante, le moindre espace est exploité pour entreposer des pelotes de marques connues comme Jaeger, Katia, Rowan, Debbie Bliss, Noro ou importées du monde entier. Il y en partout, du sol au plafond comme en témoignent les quelques photos ci-dessous. Bref, l'endroit dans lequel n'importe quelle tricoteuse rêverait de se laisser enfermer.
Mon homme, ronchon a vite rejoint le chemin de la sortie pour aller prendre un café et lire son journal. Il m'a donné 20 minutes pour faire mon choix, mais c'est à peu près le temps qu'il m'a fallut pour me repérer dans le dédale des rayonnages.
A son retour, 30 minutes plus tard (selon son propre chronomètre), il commençait à avoir faim. Je ne me suis donc pas éternisée, je n'ai rien acheté, d'autant qu'un détail d'importance m'a un peu perturbée, aucun prix n'est affiché. Il faut demander le prix de chaque article, qui est définit en fonction de la quantité achetée. Ils se revendiquent comme les moins chers du pays, ce qui est assez difficile à vérifier à mon avis.
Mon mari m'a promis qu'il me déposerait très prochainement et viendrait cette fois me chercher 2 heures plus tard.
La Knitterie Parisienne: le rêve des tricoteuses ou un vaste capharnaüm pour les non-initiés !
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